L’histoire, à son humeur que l’étoile fit lente
écorche mon poitrail d’une peine latente
Dans ma cour, hébété, un vieil arbre à sept branches
a quitté le métier qui lui troussait la manche
Il observe, à ses pieds, un bien triste cortège
le bras droit, haut levé, crachant des sortilèges
Un ramdam étouffé pleure sur son corps en
n’ayant plus qu’à plaider la grâce des amants
L’histoire, à son miroir, n’en a cure et se farde
tandis que mon réveil trépigne que je tarde
Aux ciels abandonnés à de bien vilains chromes
la voile cardinale a ripé de sa beaume
N’attends plus ton Ulysse, aimante Pénélope
il a baisé le front d’un géant nyctalope
Protège tes souris de l’écume des fours
ma lèvre bien-aimée au si gentil ajour
Le soir, à sa télé, nous ronge les méninges
avec ses défis laids, peints sur la corde à lunch
tiniak ©2024 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK
ⓁⓄⓋⒺ ! ⓁⓄⓋⒺ ! ⓁⓄⓋⒺ !
Joli poème, j’adore ton tirex qui saute à la corde.
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For making woopee 🤪!!
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hahahahaha mention spéciale à la corde à lunch 😉
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Hihihi, rigolos tes à peu près !
Bonne journée, Tiniak.
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@La Gibu & JL : comme quoi, on peut (sou)rire de tout 😉
A très bientôt plus vite que ça, amis chers.
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